+ fendez le bois, chauffez le four, dormez la belle, il n'est point jour.

**PARCHEMINS** :

Oriane Abbot

Chante, rossignol, chante, toi qui as le cœur gai. Tu as le cœur à rire moi, je l'ai à pleurer.

identité du sorcier & secrets cachés

nom ∞ née Abbot, descendante légitime de la lignée. Elle porte fièrement ce nom, les valeurs et les couleurs qui lui sont attribuées. prénom(s) ∞ Oriane, un prénom aux consonances douces et musicales qui n'a pas de signification particulière. âge ∞ dix-neuf (19) années ce sont écoulées depuis le jour de sa naissance. profession ∞ fille cadette de lord Bertram Abbot et dame de Manchester. classe sociale ∞ ne possédant certainement pas la richesse considérable que les Grandes Maison Suzeraines du Monde des Sorciers, cependant, la Maison Abbot connaît une situation financière suffisamment confortable pour qu'elle ne se soucie de sa richesse et c'est dans ce confort relatif qu'a grandit Oriane. allégeance(s) ∞ toute sa loyauté va envers lord Bertram Abbot, son honorable père ainsi qu'envers les couleurs de sa propre Maison de naissance. baguette ∞ taillée de le bois d'un saule, la baguette d'Oriane mesure approximativement 29 cm. Elle a une plume d'Hypogriffe en son cœur. Souple et légère, c'est une excellente baguette pour les enchantements – chose dans laquelle Oriane excelle. Malheureusement, elle est peu efficace dans les combats, car d'une faible constitution, le moindre choc trop violent pourrait en casser le bois et rompre ainsi toute essence magique. épouvantard ∞ des fantômes à l'allure sombre et décharnée; il ne s'agit pas d'épouvantard, mais de créatures issues de ses terreurs nocturnes lorsqu'elle était encore une enfant. Elle n'a jamais su en chasser l'image, et encore aujourd'hui, il lui arrive de voir se dessiner ses ombres dans un coin sans lumière de sa demeure. union ∞ célibataire, cependant, son père, lord Bertram Abbot, cherche sérieusement à lui trouver un époux convenable qui apportait une quelconque notoriété à sa Maison. Il n'est donc exclus que dans les prochains mois, Oriane soit fiancé contre sa volonté. patronus ∞ un rossignol, un volatile qu'elle a toujours aimé, pour des raisons qui lui sont propres. secret ∞ Oriane souffre de terreurs nocturnes depuis l'âge de trois (3) ans, ce qui l'oblige à conserver une source de lumière, quelle qu'elle soit, en permanence auprès d'elle. C'est un caprice d'enfant selon son père, mais Oriane ne peut tolérer l'obscurité totale. nature du sang ∞ issue d'une Maison Noble des Terres d'Écosse on retrouve néanmoins quelques moldus dans la généalogie des Abbot, ce qui leur accorde le status notoire de sang-mêlé. Il va s'en dire qu'Oriane s'en est toujours moqué comme une digne...

sous la cape et le chapeau

personnalité ∞ « Je retrouve en elle toutes vos qualités, lord Abbot. Elle est vaillante, obstinée et loyale. Elle ne cède point aisément. C'est une fille résolue et pleine de hardiesse que vous avez là. Oriane vous ressemble beaucoup, mon ami. » C'était immanquablement ce l'on confiait à lord Bertram Abbot lorsqu'il était question de sa fille, Oriane. De tout ses héritiers, elle était celle qui lui ressemblait le plus. Non pas physiquement – car la ressemblance avec sa mère était suffocante. Abstraction faite des années, et de la mort qui les séparait, elles auraient pu passer pour des jumelles. Mais les traits de son visage affichent la même farouche volonté, le même teint que lord Bertram quand il avait son âge. En cours de rédaction.
animal de compagnie ∞ uniquement pour ceux qui font un élève de Hogwarts, sinon à supprimer, dites-nous quel animal de compagnie vous avez décidé d'emmener.
arsenal ∞ merci de décrire votre équipement magique ou non que vous avez sur vous. Une baguette, des potions, une épée, un arc etc...
particularité ∞ si votre personnage bénéficie d'un don (voir ce sujet), merci de l'indiquer ici.
autres informations ∞ vous pouvez ajouter ici, autant d'informations en plus que vous voulez pour personnaliser votre personnage. Que ça soit sur son physique comme ses goûts, ses mimiques, etc.

Voici une liste de questions à laquelle nous vous demandons de répondre. Certaines questions sont réservés à un certain type de personnage, par exemple, si vous êtes un élève de Hogwarts. Si ces questions ne vous concernent pas, supprimez les en faisant attention à ne pas déformer la fiche ou supprimer par erreur un code. Nous attendons un minimum de cinq lignes par réponse afin de bien pouvoir cerner les objectifs et la position de votre personnage.

+ que penses-tu de la création de l'école de sorcellerie Hogwarts ? (question pour tous) répondre ici
+ quelle maison avez-vous rejoins et en quelle année ? (question uniquement pour les élèves) répondre ici
+ quelles sont vos conditions de vie ? (question pour tous) répondre ici
+ comment percevez-vous la magie ? La maitrisez-vous bien ou êtes vous un novice dans cet art ? (question pour tous)
+ que pensez-vous du conflit qui a éclaté entre la maison Slytherin, la maison Black et la maison Gryffindor ? Êtes vous concerné par cette guerre qui se profile ? (question pour tous) répondre ici
+ comment dirigez-vous vos terres ? (uniquement pour les seigneurs) répondre ici
+ quelle importance donnez-vous au sang ? question pour tous) répondre ici

Spoiler:

**PARCHEMINS** :

titre ici

citation de votre choix

famille, devoir et honneur

Dans cette partie, nous attendons à ce que vous parliez de la famille de votre personnage. Ses parents, si il a des frères et soeurs, des enfants illégitimes ou si il est un bâtard, bref, sa famille ! Attention cependant, si vous choisissez d'incarner un membre d'une maison banneret à une maison suzeraine, vous devez laisser la possibilité à d'autres membres de compléter la famille.

Nous attendons un minimum d'une dizaine de lignes. Concentrez-vous sur les relations que les membres de la famille ont avec votre personnage principalement.

l'épopée des élus et du roi maudit

prologue
À peine éveillée, Oriane se redressa d'un bond, les yeux écarquillés. Comme un petit oiseau prit au piège, la peur palpitait dans sa poitrine, et sa peau se granulait au contact de l'air glaciale. Machinalement, elle y porta la main pour apaiser les battements désordonnés de son cœur. Ce n'était qu'un cauchemar. Elle demeura un instant inerte, dans un état de demi-éveil, comme si une part d'elle-même voulait encore s'attarder dans son rêve. Oriane se sentait flotter, contemplant son cœur de haut, comme à la manière de les gargouilles grimaçante de la cathédrale regardaient la foule de Manchester. Toutefois, elle était bien dans son lit, dans le fief ancestrale de la famille Abbot, en toute sécurité. Peu à peu, ses yeux s'accoutumèrent à l'obscurité. La jeune fille reconnaissait les lieux, et comprit qu'elle était hors d'atteinte des êtres aux yeux noirs et des mains adipeuses et crochues qui tentaient de la retenir. Les mêmes créatures qui hantaient son sommeil depuis sa troisième année en ce monde... Elles ne peuvent plus rien contre moi, pensa-t-elle, se massant douloureusement les tempes. Le même rêve la poursuivait nuit après nuit. Chaque fois qu'enfant, elle s'était éveillée dans le noir, en larmes et apeurée, son père avait été à son chevet, veillant sur elle comme s'il s'était agi d'un fils. Elle se rappelait, alors que s'éteignait la chandelle et qu'une autre était allumée, il lui racontait, à voix basse, des péripéties de sa jeunesse. Il évoquait des déserts plus grand que les mers ou les arabesques des mosquées. Il lui décrivait l'odeur subtile des épices, les couleurs éclatantes, le goût relevé des nourritures d'autres pays qu'il avait eut la chance de visité. Le formidable éclat sanglant du soleil couchant... De longues années durant, dans le vide des heures entre le crépuscules et l'aube, alors que sa mère sommeillait auprès d'elle, son père, lord Bertram Abbot, n'avait cessé de parler, mettant ses démons et fuite. Il avait même interdit aux prêtres noirs catholiques, porteurs de faux symboles et superstitions, de s'approcher d'elle... Et ses paroles l'avaient sauvé, à de nombreuses reprises.
Mais sa la présence de son père à ses côtés, âgée de dix-neuf ans, Oriane n'avait plus que quelques repères pour la rassurer. Elle tendit la main vers le baldaquin qui encadrait le lit, comme si un contact d'un objet réel, elle serait devenue moins transparente, moins immatérielle. Le tissu usé, poussiéreux, imprégné des odeurs familières du château acheva de la rasséréner.